Il s’agit de tout ce qui ne se voit généralement pas et dont on n’imagine pas les impacts éventuels (ondes de forme par exemple). Ils ont cependant une influence certaine sur la qualité de vie.
Cours d’eau et failles
- La circulation des cours d’eau souterrains provoque un champ électrique à la verticale de ses rives. Le taux vibratoire y baisse d’autant plus que le débit est rapide. L’influence des cours d’eau s’observe légèrement au-delà des rives. On déconseille fortement de stationner longtemps ou de dormir au dessus de cours d’eau.
- Les failles peuvent provenir de phénomènes géologiques, comme par exemple des fissures enfouies dans le sous-sol. Elles peuvent également avoir une origine humaine : par exemple une citerne de gaz vide, enterrée, ou une cheminée bouchée, empêchant la circulation de l’air. L’énergie des failles sèches est une énergie tueuse.
Les influences telluriques
Les principaux réseaux telluriques affectant les lieux de vie sont le réseau Hartmann et le réseau Curry.
Le réseau Hartmann est orienté Nord-Sud et Est-Ouest et le réseau Curry Nord-Est/Sud-Ouest et Nord-Ouest/Sud-Est.
Ces réseaux sont comme des murs énergétiques. Ces murs se croisent à angle droit et couvrent toute la surface de la terre. Leurs lignes ne posent généralement pas de problème particulier en soi. Cependant leurs croisements, les nœuds telluriques, peuvent être à l’origine d’effets néfastes pour la santé. C’est pourquoi on recommande vivement de ne pas y stationner longtemps et encore moins de dormir au-dessus de tels nœuds.
En effet, des stationnements prolongés sur ces nœuds entraînent une baisse du taux vibratoire (notre énergie vitale). Les croisements Hartmann peuvent causer d’autre part des problèmes psychiques ou émotionnels. Et les nœuds Curry provoquent des désordres d’ordre physique. Ces nœuds sont qualifiés de pathogènes.
Et si par malheur un nœud Hartmann est superposé à un nœud Curry, le tout sur un cours d’eau souterrain, le point, appelé nœud étoile, est cancérigène.
Les cheminées cosmotelluriques sont des entités naturelles. Elles viennent s’installer sur des lieux à nettoyer, en général des lieux de souffrance. De diamètre plus ou moins important, de 50 cm à 30 m, elles ont des bras. Elles respirent sur des cycles d’environ 3 min vers le cosmos puis 3 min vers le tellurique. La vibration est basse sur une cheminée cosmotellurique. Cette vibration basse peut peut-être à l’origine d’acouphènes, de cauchemars ou d’états dépressifs si on dort dessus.
Les mémoires
Les murs se chargent de la mémoire des habitants de la maison. Cette mémoire s‘accumule à travers les générations qui se succèdent dans l’habitation. Dans certains cas, la mémoire des murs est positive. Mais cette mémoire peut être extrêmement négative dans des lieux de violences et de souffrances.
Les objets aussi peuvent se charger négativement. Certains peuvent s’imprégner de la violence régnant dans la maison.
De même que les murs peuvent avoir enregistré les mémoires d’évènements douloureux, les sols ont enregistré également tous les types de violences ou barbaries imaginables au cours des siècles et millénaires.
On trouve fréquemment des exemples de guerres, pillages, rapts, viols, massacres, satanisme, sorcellerie, noyades…l’imagination humaine en terme de cruauté n’a pas de limite.
Dans certains cas, on peut dater approximativement ces évènements et souvent il est possible de les rattacher à l’un ou l’autre des habitants du lieu (victime ou bourreau suivant les cas).
Les entités
Les entités sont des âmes qui ne sont pas montées dans la Lumière. Une raison importante de ce phénomène est l’envahissement de notre environnement par des ondes électromagnétiques de toutes fréquences. Ces ondes créent une forme de plafond empêchant les âmes de s’élever. Il faut alors les aider.
Dans les cas de morts brutales, l’âme n’a pas forcément compris son nouveau statut et peut « rejouer la scène » jusqu’à ce qu’on l’aide à partir.
Les morts par suicide sont un autre cas particulier, pour lequel le défunt doit d’abord se pardonner avant de pouvoir être accompagné.
Dans les cas d’Alzheimer, on doit mettre en œuvre un protocole particulier.
