Ingénieur de formation, rien de particulier ne me prédisposait à devenir géobiologue.
J’ai effectué l’essentiel de ma carrière professionnelle dans le commerce international de produits de très haute technologie. Dans ces milieux, les énergies subtiles n’avaient pas leur place.
Je devais avoir cependant des capacités enfouies, qui ne demandaient qu’à s’exprimer : mon père était « guérisseur » sur les bords même s’il n’a jamais développé ses capacités. Et il m’arrive régulièrement de soulager des proches avec mes mains.
Le fantastique m’a toujours attiré et j’ai toujours été prêt à aider les autres.
Comme beaucoup, je ressentais mal le manque d’empathie et d’humanité dans les entreprises. Je n’acceptais plus la pression excessive sur les résultats. Et la concurrence organisée entre les uns et les autres devenait insupportable. C’est pourquoi j’ai préféré quitter mon employeur. Et c’est depuis 2018 que des rencontres et des recherches personnelles m’ont amené sur le chemin de l’aide aux autres.
Ceci a pris la forme d’une formation que j’ai faite auprès d’Edith Vianet, géobiologue et magnétiseuse à Gourin (56), qui pratique ces disciplines depuis plus de vingt ans.
Elle m’a fait découvrir le monde merveilleux de la géobiologie. C’est elle aussi qui m’a permis de libérer et développer mes capacités latentes.
Je me suis formé plus tard en Reiki, niveau 1, pour maitriser l’utilisation de l’énergie universelle. Puis la communication animale m’a permis de développer ma communication directe avec l’invisible. Et la formation à la lecture des dossiers akashiques me permet d’accéder aux mémoires des lieux et donc de nettoyer encore plus profondément.
Je travaille avec un pendule et des baguettes, et surtout avec mes ressentis des énergies subtiles. Et sur le terrain, je mets en œuvre régulièrement de nouvelles approches lorsque je suis en expertise chez des clients.